Synopsis Allociné
Paris 1930. Paul n’a toujours eu qu’un seul et même horizon : les hauts murs de l’orphelinat, sévère bâtisse de la banlieue ouvrière parisienne. Confié à une joyeuse dame de la campagne, Célestine et à son mari, Borel, le garde-chasse un peu raide d’un vaste domaine en Sologne, l’enfant des villes, récalcitrant et buté, arrive dans un monde mystérieux et inquiétant, celui d’une région souveraine et sauvage.
L’immense forêt, les étangs embrumés, les landes et les champs, tout ici appartient au Comte de la Fresnaye, un veuf taciturne qui vit solitaire dans son manoir. Le Comte tolère les braconniers sur le domaine mais Borel les traque sans relâche et s’acharne sur le plus rusé et insaisissable d’entre eux, Totoche. Au cœur de la féérique Sologne, aux côtés du braconnier, grand amoureux de la nature, Paul va faire l’apprentissage de la vie mais aussi celui de la forêt et de ses secrets. Un secret encore plus lourd pèse sur le domaine, car Paul n’est pas venu là par hasard…
Mon avis
« L’école buissonnière » est une belle histoire, mais c’est bien plus la forme que le fond qui a retenu toute mon attention, car ce film présente des images à couper le souffle ! Il faut d’ailleurs saluer au passage le directeur de la photographie, qui a effectué un travail remarquable. C’est si beau, les plans se détachent tellement, qu’on a parfois la sensation d’un effet 3D.
Alors, si vous cherchiez un film pour tester la qualité d’image de votre installation, ne cherchez plus, vous l’avez trouvé !